Le Tournoi des Immortels
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 [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935
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MessageSujet: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeMer 19 Mai 2021 - 18:04

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Luther R. Von Ziegler
1er septembre 1935
Bureau de Luther - Forteresse de Nurmengard

Fixant son propre regard dans le reflet du miroir, Hilda contemplait son teint blanc éclatant avec ravissement. Malgré son âge qui ne cessait d’avancer, le temps ne semblait pas avoir d’emprise sur elle. Pas une seule ride ne venait émailler son beau visage. Il faut dire que la sorcière dépensait des fortunes en produits cosmétiques en tout genre. Elle trouvait que subir les affres du temps était une chose terriblement vulgaire; une chose qui n’était surtout pas digne d’Hilda Von Ziegler.

Après avoir revêtu une longue robe noire, mélange de satin et de dentelles complexes, Hilda descendit les quelques escaliers qui séparaient sa chambre de la salle à manger. La veille, comme tous les jours, elle avait fait boire à Wendel une potion inoffensive qui lui ferait croire qu’elle avait partagé sa couche. Il se réveillerait donc le sourire aux lèvres, au même titre qu’Hilda. Mais en attendant que son mari se réveille, Hilda était seule, elle chercha donc des yeux son elfe de maison. Même si la blonde était une très bonne sorcière, elle n’avait aucune envie de se préparer elle-même son petit déjeuner. Il fallait bien que ces horribles petites créatures se rendent utiles… Et, justement, voilà que Hoof, leur elfe de maison, débarquait déjà avec un plateau rempli de toutes sortes de choses chères au coeur d’Hilda : des oeufs brouillés, des tartines, du saumon fumé et bien d’autres douceurs salées. Effectuant une courbette, il posa le tout sur la table.

 « La prochaine fois, sois plus rapide. Tu m’as entendue descendre, non? Tout aurait déjà dû être prêt »
 « Pardon maîtresse, je n’y manquerai pas, maîtresse »

Maudissant la fainéantise de cet elfe de maison, Hilda attrapa d’une main une tartine beurrée et de l’autre la Gazette du sorcier déjà présente sur la table. Inutile de dire que, au vu de la Une du journal, jamais la tartine n’atteignit la bouche de la sorcière. Un gigantesque titre « Invasion de la Pologne » barrait la première page avec, en dessous, quelques photos animées de la scène. L’information en elle-même ne surprenait pas Hilda. C’était plutôt le timing qui était très étonnant. Son beau frère lui avait répété pas plus tard que la semaine passée que tout ça aurait lieu en octobre. Pour qui la prenait-il exactement? Furieuse qu'on se joue d'elle, elle décida de riposter.

Quelques secondes lui suffirent à atteindre le bureau de Luther Von Ziegler. Même si l’endroit n’était pas très loin de son aile, elle avait choisi de transplaner pour le rejoindre sur-le-champ. Une assistante tenta de stopper la tornade Hilda mais c’était bien mal la connaître. Qu’il soit en train de forniquer avec sa soeur ou non, la Suédoise rentrerait dans cette pièce ! Tournant la poignée de la porte, elle entra sans même frapper. Coup de bol, il était seul. Enfin, si on excluait les horribles portraits de sa soeur et lui qui « décoraient » la pièce. Au moins avait-elle eu la chance de ne pas avoir leur version dénudée devant les yeux.

Le bruit de la porte qui se claque coïncida exactement avec le moment où Luther eut le plaisir de recevoir le journal d’Hilda en pleine figure. Même si elle savait qu’il s’amuserait de la voir dans cet état, cette fois, c’en était tout simplement trop. Elle n’en pouvait plus de suivre ses ordres. Elle avait besoin d’un vrai chef, avec de la puissance et de la prestance. Un chef comme Grindelwald.

 « J’imagine que tu es fier de toi. Que ça te fait rire de me cacher ce genre d'information. Mais, écoute bien, moi aussi j’ai une info pour toi. Maintenant qu’il est revenu, tu n’es plus rien. Il va reprendre sa place et, toi, tu seras juste bon à le servir. Comme un elfe de maison ! »

Cela faisait bien trop longtemps que Luther se prenait pour le chef. Il était temps qu’il redescende et, heureusement, ce moment était venu puisque Grindelwald était de retour et allait enfin reprendre les rênes de son empire. Puisqu’elle avait fait passer son message, Hilda prit la direction de la sortie. Elle n’avait aucune envie de rester trop longtemps dans cette pièce qui lui rappelait de très mauvais souvenirs.
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Luther R. Von Ziegler
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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeJeu 20 Mai 2021 - 8:38

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Hilda B. Von Ziegler
1er septembre 1935
Bureau de Luther - Forteresse de Nurmengard

Evidemment, Luther était fort occupé ce matin. Le projet était maintenant lancé, la guerre moldue avait été déclenchée lorsque le petit excité avait lancé ses troupes à l’assaut de la Pologne. Dans le même temps, lui-même avait ordonné à quelques uns de ses hommes de venir troubler l’ordre à Varsovie par divers attentats afin de leur créer une diversion.
Le Royaume-Uni avait aussitôt pris position, et ces fichus Hamilton avaient condamnés fermement les Von Ziegler, les accusant d’avoir orchestré tout ca depuis le début avec Grindelwald. D’accord ce n’était pas faux, mais c’était quand même honteux d’accuser ainsi les gens sans preuves tangibles, aucun Von Ziegler n’était sur les lieux après tout, pas même Niklas, qu’il avait fallu retenir de force à la forteresse.

Son bureau, dont il prenait habituellement soin de ne surtout pas envahir, était jonché de parchemins et de cartes en tout genre. Après ce coup en Pologne, il se demandait quelle serait la meilleure stratégie à adopter, s’il devait faire consolider le front, poursuivre l’avancée, ou tenter une nouvelle surprise ailleurs. Après tout, une série de portoloins permettraient de déplacer facilement et rapidement des milliers de moldus allemands.

Lorsque le vacarme se fit entendre à la porte, il poussa un léger soupir sans même lever les yeux, sachant déjà quelle été l’auteure de ce remue-ménage. Le fait même de recevoir ce journal en plein visage ne l’émeut absolument pas. Toujours les yeux baissés vers ses cartes, le front plissé par la concentration, il se massa son nez endolori en sortant un salut des plus cyniques.

« Tiens donc, mais n’est ce pas ma douce et agréable belle sœur que voilà ? Je t’en prie entre, fais comme chez toi, tel que tu sais si bien le faire. Après tout, ce bureau a déjà été le lieu d’autres hardiesses de ta part. »

Accroché au mur, le portrait de Luther eut un sourire moqueur à cette évocation, alors même que celui de Séraphina s’offusquait et détourna la tête, très agacée. Il leva finalement les yeux vers Hilda, rouge de colère et l’écoute d’une mine blasée sans rien dire. Alors qu’elle lui tournait les talons pour quitter la pièce, il l’apostropha, et reposa la plume qu’il avait toujours en main dans son encrier.

« Bien que le moment de tes sorties théâtrales soient toujours un moment de fort soulagement pour ma santé mentale, veux tu bien refermer la porte et venir t’asseoir ? J’ai à te parler. »

Les mains jointes posées sur son bureau, ses yeux fixés sur le cul la silhouette de sa belle-sœur, il attendit qu’elle s’execute avant de reprendre. Il plissa les yeux pour mieux l’observer, alors même qu’elle n’était pas à plus de deux mètres de lui. Sa robe était probablement aussi onéreuse qu’elle était magnifique, tant elle était bien ouvragée.

« Décidément entre Séraphina et toi, je sais où passe le budget familial. Cela dit, je n’aime pas du tout ta coiffure ce matin, probablement un surplus de galipettes avec mon frère t’a-t-il décoiffé la nuit dernière, je suppose.»

Il n’en savait trop rien évidemment, ce n’est pas un sujet que des frères abordent entre eux, mais il soupçonnait que ce dernier ne bénéficiait pas souvent des honneurs de sa femme. Il connaissait assez Hilda pour connaitre le dégout que son mari lui inspirait, même si elle l’étonnait toujours par son aisance à le dissimuler.
Il n’avait cependant pas le temps de tourner autour du pot trop longtemps, il avait d’autres choses à faire.

« Je suis en tout cas ravi de constater que tu ne manques toujours pas de lire les journaux le matin. Voilà au moins une qualité que j’apprécie chez toi, celle de te maintenir informée. En effet, nous avons changé nos plans à la dernière minute, pour plusieurs raisons dont je ne me sens pas l’envie de t’expliquer en détail. »

Il fouilla parmi les parchemins étalés sur la table pour finalement trouver une liste comportant une trentaine de noms. Dessus figuraient uniquement des sorciers, de toute nationalité, dont par exemple le vieux Endrick Mendelssohn ou Imelda Blackwood. Il retourna le parchemin pour le pousser vers Hilda et qu’elle puisse le lire.

« Il y a de fortes chances que peu à peu, cette forteresse se remplisse d’indésirables, c’est aussi ce pour quoi elle fut crée à l’origine. Certaines personnes là dehors, y compris des opposants, nous seraient plus utiles en vie que morts, aussi nos agents sur le terrain ont-ils pour mission de nous les ramener vivants, afin que nous procédions avec eux à quelques … questionnements. Je voulais donc te prévenir que tu seras chargée de l’intendance, tu veilleras à qui est amené ici, t’assurer qu’il est logé dans des conditions assez satisfaisantes pour qu’il reste en vie mais assez insalubres pour avoir envie de nous quitter et m’informer de tous renseignements qu’ils pourront nous fournir. J’espère que tu n’as pas d’objections. »

Jugeant que ses ordres n’étaient pas contestables et que le sujet était clôt, Luther reprit sa plume en main et se désintéressa d’Hilda.
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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeSam 22 Mai 2021 - 12:29

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Luther R. Von Ziegler
1er septembre 1935
Bureau de Luther - Forteresse de Nurmengard

Hilda fulminait toujours. Elle était convaincue d’avoir trop donné (dans tous les sens du terme) pour être ainsi mise à l’écart lorsque les choses commençaient réellement à devenir intéressantes. C’était injuste, et uniquement le fruit d’une basse vengeance imaginée par Luther juste parce qu’elle ne désirait plus coucher avec lui. Elle était en effet persuadée que son « non » avait fortement blessé l’ego de son beau-frère et qu’il lui en voulait pour cette simple raison. Il faut dire qu’un homme ayant sa position ne devait pas être habitué aux refus…

Plutôt que de l’agacer, ses remarques sur sa tenue et sa coiffure la confortèrent dans son idée. Elles lui décrochèrent même un sourire et contribuèrent à la calmer. A ce moment précis, la Von Ziegler se sentait extrêmement puissante. Même si elle n’avait pas autant de pouvoir que lui dans la hiérarchie, elle en avait sur lui. Une part de l’Allemand semblait toujours obnubilé par elle. Et il ne parvenait même pas à le cacher. Elle savait très bien qu’un seul mot de sa part aurait pu provoquer un changement instantané de comportement chez son beau-frère, mais elle ne voulait pas retomber dans ce genre de travers, surtout pas depuis que Grindelwald était revenu. Certes, Luther l’avait fascinée par le passé, mais ce n’était rien comparé aux sentiments que Grindelwald faisaient monter en elle. En tant que « soldate » douée pour le combat, elle n’admirait que la force magique. Et Grindelwald était l’un des sorciers les plus doués du monde. Contrairement à Luther qui était sans cesse plongé dans des plans de bataille et était beaucoup trop dans la réflexion… En tant que stratège peu douée, elle ne voyait pas l’intérêt de préparer des missions pendant aussi longtemps quand on savait que dix sorciers bien entraînés pouvaient obtenir le même résultat en brûlant tout sur leur passage…

A présent un peu plus maîtresse de ses émotions, elle s’assit face à Luther et écouta ce qu’il avait à lui dire. Elle ne manqua toutefois pas de lui faire comprendre qu’elle avait remarqué son petit jeu.

 « - Je t’en prie… On sait tous les deux que tu apprécies un peu trop de choses chez moi. Si tu en venais au fait maintenant, je t’écoute… » Séraphina parut encore plus vexée qu’une minute auparavant. « Il n’y a que la vérité qui blesse », pensa Hilda qui ne manqua pas de toiser le tableau avec un air supérieur.

Luther n’avait pas envie de lui expliquer pourquoi les plans avaient changé au dernier moment? Très bien… De toute façon, Hilda savait bien que ce n’était pas vraiment le cas. Il lui avait inventé une fausse date depuis le début pour la mettre en colère et cela avait marché. Quelque part, elle s’en voulait d’avoir bondi aussi rapidement… Mais soit. Voilà enfin qu’il parlait de choses sérieuses. L’Allemand venait en effet de lui tendre l’un des papiers qui trônaient sur son bureau depuis qu’elle était arrivée. Une liste avec plusieurs noms. Mentalement, elle se mit à les lire pendant qu’il parlait. Elle en reconnut quelques uns, mais d’autres ne lui disaient rien du tout. Selon Luther, tous ces gens allaient finir ici, à Nurmengard. Et, elle, elle serait chargée de… l’intendance?! Un mot distingué pour dire qu’elle serait la bonne à tout faire sans aucun rôle important… Mais bien sûr !

Profitant qu’il pensait avoir gagné et qu’il faisait semblant d’être occupé sur quelque chose, Hilda eut un éclair de lucidité et lança un sort informulé visant à copier cette liste. Toute information était bonne à prendre. Et celle-ci lui serait sans doute utile. Malheureusement, trop apeurée à l’idée de se faire surprendre, elle ne parvint pas à copier toute la liste. Elle ne savait pas exactement combien de noms elle avait, mais elle ne les avait pas tous. Elle ferait le bilan plus tard. L’espace d’un instant, elle songea à copier d’autres papiers présents sur son bureau, mais ils étaient trop difficilement accessibles pour qu’elle puisse y arriver sans se faire repérer.

Jugeant que rester silencieuse trop longtemps serait suspect, elle décida de lui répondre et reposa la feuille devant elle. Contrairement à ce qu’il espérait, elle ne s’énerva pas. Sa tentative de provocation était tellement évidente qu’elle n’allait pas faire la même erreur deux fois au cours de la même journée. Ils savaient de toute façon tous les deux qu’elle serait bien plus utile en interrogeant directement les prisonniers qu’en les… accueillant. Et Grindelwald le savait aussi. Contrairement à Luther, il savait reconnaître le potentiel de chacun et les placer au meilleur endroit. C’est donc exactement ce qu’il finirait par se passer.

 « - Et qui va mener les interrogatoires? Toi, peut-être? » dit-elle en ricanant. Elle n’était pas la seule gardienne de Nurmengard à avoir les capacités d’utiliser les sortilèges impardonnables pour parvenir à ses fins. Mais Luther n’en faisait clairement pas partie. Faisant doucement le tour de son bureau jusqu’à arriver à sa hauteur - qui sait elle verrait encore peut-être des papiers intéressants?-, elle se pencha pour murmurer à son oreille :  « - Tu n’en as pas… » Elle fit mine de chercher le mot approprié. Le blesser, le vexer dans son ego à défaut de pouvoir utiliser sa baguette magique contre lui…  « - L’étoffe », souffla-t-elle dans son cou d’une voix sensuellement provocatrice, tout en touchant son épaule.

Voyant qu’il ne restait pas totalement indifférent à son charme, elle ne put s’empêcher d’afficher un sourire satisfait.  « - Eh bien, beau-frère, tu n’as plus l’air si occupé que ça, maintenant… Malheureusement pour toi, je dois y aller. J’espère que tu n’y vois pas d’objections », dit-elle en s’éloignant, décidée à ne pas s’éterniser plus longtemps. Jouer avec ses nerfs l’espace de quelques instants lui avait suffi. Comme elle l'avait dit, elle était décidée à ne plus jamais retomber dans ce genre de travers. Par contre, lui en laisser l'espoir, même quelques secondes, était une douce vengeance qu'elle aimait utiliser contre lui.

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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeSam 22 Mai 2021 - 12:29

Le membre 'Hilda B. Von Ziegler' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


#1 'Maîtrisée' :
[Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 21042508300821900817386846

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#2 'Destinée' : 2
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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeLun 24 Mai 2021 - 10:37

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Hilda B. Von Ziegler
1er septembre 1935
Bureau de Luther - Forteresse de Nurmengard

Est-ce que Luther pouvait nier l’effet que lui faisait Hilda ? Bien sur ! Est-ce qu’il parvenait à le dissimuler ? Pas vraiment. Si l’expression générale de son visage restait toujours impassible, ses lèvres parfaitement fermées sans être pincées, ses joues conservant leur couleur habituelle, ses yeux le trahissaient au fur et à mesure qu’il suivait la démarche de son ex maitresse. Ca et sa respiration, tantôt accélérée, tantôt bloquée, au fil de ses mouvements. Bien sur qu’il était frustré que leur relation se soit stoppée après le retour de Gellert ! Pour un homme de son importance, Luther n’avait pas eu un grand nombre de femmes dans sa vie, et sur les trois, Hilda est la seule à y avoir mis fin. Alors oui, il ne pouvait s’empêcher de la déshabiller mentalement, mais non, il était hors de question qu’il cède à ses pulsions en jouant les implorants.
Il était toujours à gribouiller des notes d'une écriture de moins en moins assurée alors qu’Hilda lui tournait autour, aussi n’avait-il pas vu qu’elle avait copié sa liste. Réprimant un frisson lorsque celle-ci lui souffla dans le cou, il se dégagea en agitant les épaules.

« Excuse moi de ne pas partager ton excitation malsaine à devoir torturer des individus. Il se trouve que j’ai des baguettes à mon service pour cela, je ne vois pas pourquoi j’aurais besoin de me salir moi-même les mains. »

Admettre qu’il n’était pas fichu de lancer un sortilège impardonnable ? Plutôt mourir. Hilda avait beau le savoir, il n’était pas inquiet, elle tiendrait sa langue à ce sujet. Tout ce qu’il devait faire, c’était de subir ses railleries sans s’emporter. Un échange de bons procédés, elle n’ébruitait rien, et lui n’avait pas à la faire exécuter. Au-delà du fait qu’elle était une très belle femme qu’il serait dommage de perdre, il devait admettre que son ambition et sa puissance n’étaient pas négligeables, et Gellert s’était montré catégorique à son sujet …

« Je ne voyais personne de plus qualifiée que toi pour jouer les maitresses de maison. Et je suis certain d’être capable de trouver d’autres personnes enthousiastes pour assumer les interrogatoires, comme ton ami Azaël par exemple, un jeune garçon très prometteur.»

Une deuxième fois, Hilda tourna les talons pour sortir du bureau. Luther accompagna sa sortie avec une petite phrase cynique qui n’était là que pour lui éviter de perdre complètement la face devant elle. Il réajusta sa tenue et épousseta le surplus de crème pour les mains de luxe qu’elle avait déposé sur son épaule.

« J’avoue être étonné de ne pas te voir protester plus que cela à l’attribution de tes fonctions. Je m’étais attendu à te voir retenir ta respiration et taper du pied, mais il faut croire que tu as fini par mûrir. »

Il baissa à nouveau la tête vers ses pieds lorsqu’il interpella à nouveau la Gardienne alors qu’elle passait juste l’embrasure de sa porte, sans la regarder.

« HILDA. Tu m’enverras Anita au plus vite. Il est grand temps que je m’occupe de ma petite nièce adorée, j’ai certains projets à son égard. »

Il attendit de voir si elle allait aussitôt lui sauter au cou ou si elle l’ignorerait. Anita était sacrée pour Hilda, elle avait la même faiblesse que toutes les mères au final …
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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeVen 4 Juin 2021 - 4:48

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Luther R. Von Ziegler
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Tandis qu’elle était toujours proche physiquement de Luther, celui-ci lui expliqua qu’il n’avait pas la même excitation qu’elle à vouloir torturer des gens. Dommage, parce que c’était vraiment exaltant. Que ce soit des moldus ou des sorciers sangs purs de haut rang comme lui, Hilda avait imaginé mille manières de torturer ses victimes. En fonction de la personne qui était devant elle, elle trouvait toujours le moyen de faire mal ou de blesser. Et quand elle ne pouvait pas faire usage de violence physique, il lui restait ses mots.

« - Tu n’as aucune baguette à ton service », lui rappela aimablement Hilda en agitant la sienne. « - Nous le suivons, lui. Pas toi ! Et ce ne sera jamais toi »

Luther avait atterri là grâce à son argent, il était hors de question qu’il revendique une quelconque allégeance de leur part à tous. Si le Von Ziegler avait été en galère quelque part, elle était prête à mettre sa main dans la poudre de cheminette que personne ne l’aurait aidé. Par contre si Grindelwald avait eu besoin d’eux, ils auraient tous accouru. C’était l’évidence même. Luther ne serait là que jusqu’à un certain point. Et elle espérait bien que Grindelwald allait se débarrasser de lui au moment opportun.

« - Je me demande s’il va tolérer longtemps que tu ne te salisses jamais les mains et que tu restes planqué dans ton bureau toute la journée… »

Elaborer des stratégies, même si ça la dépassait complètement, semblait avoir une utilité aux yeux du mage noir. Mais à un moment, tous les généraux finissaient par aller sur le terrain. Et si Luther n’y allait jamais… Il faudrait qu’il comprenne qu’il n’était pas le seul homme sur Terre à même de lui donner de l’argent. Et maintenant que la guerre était lancée, Grindelwald recevrait du soutien de beaucoup de sorciers à travers le monde.

« - Azaël est effectivement une très bonne recrue »

Et pour cause, c’est elle qui l’avait fait recruter. Même si, encore une fois, Luther s’en était tiré tout le mérite. Il n’empêche qu’ils savaient tous les deux que cela venait d’elle et uniquement d’elle.

Au moment où elle allait partir, il lui avoua être étonné qu’elle ne proteste pas plus à ses nouvelles fonctions. Elle n’était peut-être pas très douée en stratégie mais elle voyait clair dans son jeu. Il avait décrété ces nouvelles tâches uniquement pour la faire sortir de ses gonds. Pour la faire s’énerver. Mais elle n’allait certainement pas lui donner satisfaction. Maintenant que Gellert était revenu, elle avait beaucoup mieux à faire que se chamailler avec son beau-frère. Il fallait qu’elle lise cette liste à tête reposée et qu’elle trouve la première victime qu’elle allait ramener à son vrai maître.

Mais au moment où elle allait sortir, triomphante, il prononça les mots magiques. Anita. Fermant les yeux et serrant les dents, Hilda se promit de ne pas répondre. Il savait très bien que cela la ferait réagir et elle ne voulait pas lui donner satisfaction. Toutefois, elle s’entendit prononcer quelques mots malgré elle.

«  - Quels genres de projets ? », demanda-t-elle en se retournant pour lui faire à nouveau face.

Hilda n’était pas contre le fait qu’elle se marrie. Elle le devrait de toute façon. Mais pas en pleine guerre. Pas au moment où elle pourrait faire ses preuves devant Grindelwald. La couper dans son élan aurait été beaucoup trop injuste. C’était une sorcière brillante qui avait de quoi épater Grindelwald et ses troupes. Malheureusement, si un mariage était programmé, Hilda savait qu’elle ne pourrait rien faire, surtout si les ordres venaient de tout en haut… Au mieux pourrait-elle lui fournir des potions pour qu’elle ne tombe pas enceinte. Même si Luther ne lui avait encore rien dit, Hilda était déjà en train d’élaborer 1000 façons de tirer sa fille de ce mauvais pas.
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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeMer 9 Juin 2021 - 16:56

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Hilda B. Von Ziegler
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Pour quelqu’un dans sa position, s’entendre dire qu’il n’était pas le cœur de baguette de la révolution sorcière était terriblement frustrant. Certes, Grindelwald était le plus grand sorcier de tous les temps aux yeux de Luther, plus même que cet imposteur de Dumbledore, mais il n’était pas Joe le rigolo, que diable ! Il était un Von Ziegler, et même LE Von Ziegler, le chef de famille, qui a su destituer son père et accroitre l’emprise de la famille sur tout l’Allemagne !
Hilda savait taper là où ca faisait mal, que ce soit avec un doloris ou avec ses mots, pile dans l’égo des gens. Mais Luther pouvait être fier de son sang froid, c’était d’ailleurs ce qui lui avait valu d’être dans un fauteuil si confortable, sa capacité à ne pas se laisser envahir par ses émotions. Contrairement à une Hilda par exemple.

« Peut être bien, qu’il en aura assez un jour, Hilda. Ou peut être que lui, il sait bien qui il peut se permettre d’envoyer sur le terrain et qui il vaut mieux garder dans un bureau. Certaines personnes sont plus remplaçables que d’autres. »

Voilà, c’est un argument qui tenait parfaitement la route. Jusqu’à présent, Gellert ne lui avait rien demandé d’accomplir lui-même, et en soi, il ne pensait pas que cela viendrait un jour. Luther était bien trop en vue pour quelque affaire d’infiltration que ce soit, et puisqu’il existait de meilleur combattant que lui c’était parfaitement inutile de l’envoyer.

Pour la deuxième fois en moins de cinq minutes, Hilda se retourna pour passer la porte avant de craquer et revenir. Luther ne put s’empêcher de ricaner, il avait réussi son effet en glissant le prénom magique de sa nièce. Moqueur, il ne put résister à l’occasion trop belle.

« Je crois que tu n’as pas tout à fait saisi le fonctionnement des sorties dramatiques, ma très chère belle-sœur. Tu es censée m’ignorer, passer le pas de la porte et claquer la porte avec violence. Non pas revenir toutes les trente secondes. »

Il reposa sa plume et la regarda fixement depuis son fauteuil pendant dix bonnes secondes avec un petit sourire en coin. Enfin, il se leva et s’approcha d’Hilda et passa derrière elle, pour lui prendre les épaules et plonger son nez dans ses yeux, pour en respirer l’odeur. Seraphina étouffa un juron dans son portrait.

« De toute façon, je ne pense pas qu’Anita te cachera quoi que ce soit, et mes intentions ne sont pas secrètes alors autant te le dire. Ta fille a déjà vingt-cinq ans, Hilda. Même toi, tu étais déjà mère à cet âge. Il est plus que temps de lui trouver un mari. J’espère que tu n’avais pas imaginé qu’elle passerait le reste de sa vie accrochée à tes robes indécemment trop révélatrices telle une vieille fille à fléreur. »

Il avait prononcé ces derniers mots en louchant sans discrétion dans le généreux décolleté de la blonde. Après avoir fait le tour de son ancienne maitresse tel un vautour, il revint vers son bureau pour jouer distraitement avec le rapeltout qui y trônait.

« Dans cette guerre, il est également bon de se trouver des alliés, et le mariage en est un très bon moyen. J’ai quelques contacts avec ces rouquins de O’Callaghan et je pense qu’ils ne seront que ravis de nous prêter baguette forte et grâce à toi, je pense que l’on peut compter les D’Ombreleau comme de bons alliés. Ta fille est allée à Poudlard, je pensais qu’elle serait ravie d’y épouser quelqu’un qu’elle a connu là bas. Certainement pas un Hamilton, évidemment, mais les Ridley feraient un excellent partie, nous avons déjà de très bons rapports avec eux. Anita a en outre cet avantage d'être blonde, le petit péché mignon de ces buveurs de thé semble t-il. »

Il ne doutait pas qu’Hilda allait fermement s’opposer à ce projet et tout de suite aller trouver Gellert pour pleurer dans sa robe. Luther n’avait pas encore mis Grindelwald au courant de ce projet, mais celui-ci l’avait chargé de trouver des alliés. Peu importait la manière, non ?
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MessageSujet: Re: [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935   [Luther&Hilda] Une femme en colère est une guêpe piquante - 1 septembre 1935 Icon_minitimeSam 19 Juin 2021 - 3:56

Une femme en colère est une guêpe piquante


feat @Luther R. Von Ziegler
1er septembre 1935
Bureau de Luther - Forteresse de Nurmengard

Hilda ne louerait absolument jamais le travail de bureau. C’était une femme de terrain, une femme d’action. Alors l’idée même de rester planquée quand des choses se passaient lui était insupportable. Elle ne comprenait pas comment Luther ne culpabilisait pas, même un tout petit peu, de rester à ce point à l’écart des choses. Mais bon, étant donné qu’il couchait avec sa propre soeur, il n’avait pas beaucoup de conscience. Et cela, elle le savait déjà.

Lorsque le Von Ziegler lui expliqua que Grindelwald savait qui envoyer sur le terrain et qui laisser de côté, elle éclata de rire.

 « - Nous voilà au moins d’accord sur quelque chose, très cher beau-frère. Il a du talent et sait exactement qui envoyer sur le terrain et qui laisser dans un bureau. C’est pourquoi je pense qu’il n’appréciera pas de savoir que tu m’as laissée de côté lors de l’invasion de la Pologne. Et pourquoi déjà? Ah oui. Parce que tu es frustré de ne plus pouvoir coucher avec moi. En toute honnêteté, je ne pensais pas que ça te manquerait autant. Personnellement, je me porte comme un charme »

Après tout, Luther était un homme, et les hommes réfléchissaient tous de la même manière. La seule chose qui embêtait vraiment la Gardienne dans le fait de dénoncer Luther à Gellert était qu’il apprendrait du même coup qu’ils avaient couché ensemble. Elle ne savait donc pas encore exactement comment procéder mais cet affront ne resterait certainement pas impuni. Luther avait beau avoir une image détestable des femmes, ce n’était pas le cas de Gellert. Et il saurait le lui faire comprendre !

Lorsqu’il lui apprit qu’il comptait marier Anita au premier Ridley venu, Hilda faillit lui arracher la tête. Pas avec un sort, non, à mains nues. Les Ridley n’étaient pas totalement un mauvais parti, mais ils n’étaient pas non plus le meilleur. Perdue dans ses pensées, elle ne remarqua pas que Luther était en train d’observer son décolleté. Mais lorsqu’elle le vit, elle se recula pour l’en empêcher.

 « - Des alliés, tu en trouverais. Si tu n’étais pas occupé avec tous ces… » Elle chercha ses mots pour définir le bordel sur son bureau d’ordinaire si bien rangé.  « Parchemins ridicules » Elle était furieuse, mais elle tentait tant bien que mal de le cacher.  « Si tu n’étais pas obsédé par ta minable petite vengeance à mon égard, tu te rendrais compte qu’Anita est une sorcière extrêmement douée, qui a toute sa place dans cette guerre. Je me demande bien ce qu'il pensera de tout cela »

Son rôle était d’aller au combat, pas de porter une robe blanche et de regarder avec un air faussement amoureux un homme qu’elle ne connaissait pas encore. Oh, bien sûr, ce jour arriverait, mais pas maintenant. Lors de la précédente guerre, beaucoup de femmes s’étaient aussi mariées plus tard, parce que les hommes étaient partis au combat et que tout le monde donnait un coup de main. Ce serait le cas cette fois-ci également. De toute façon, cette guerre ne durerait pas éternellement. Les troupes de Gellert étaient puissantes et allaient bientôt s’imposer. Et si, éventuellement, la guerre durait et que le mariage devenait vraiment pressant, il serait toujours temps d’en reparler. Au vu de leurs affinités, les Ridley pourraient se laisser convaincre de bien d’autres manières que par un mariage. Mais Luther savait que le mariage était la manière qui blesserait le plus sa belle-soeur. Heureusement, elle avait déjà plusieurs idées pour le contrecarrer. Il la sous-estimait, et c’était une grave erreur.

 « - Sur ce… »

Hilda s’écarta légèrement de la porte et transplana dans un énorme courant d’air qui déplaça tous les parchemins qui traînaient sur son bureau et les fit tomber par terre. Encore une fois, elle le laissait seul, à devoir fournir des explications à Seraphina, ou à son portrait, qui l’attendait de pied ferme. Semer la pagaille dans cette famille était finalement une activité qui lui plaisait plutôt bien. Et l'idée même qu'il se demande où elle avait transplané la ravissait au plus haut point.
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